Du sang... Du sang...

Un cri, rapidement étouffé, se fit entendre près de l'entré des grottes de la cité d'Ulykor. Dans la grotte, on pouvait voir du sang, beaucoup de sang, couvrir les murs. Au sol, un grand pentacle, en sang, était tracé. Au centre, on pouvait vois Tsaël, l'occultiste, avec une dague sacrificielle dans les mains, se tenir au dessus des corps. Certains corps étaient inconscient, d'autre morts.

Vêtue d'un long manteau noir 'à la Faucheuse', capuchon sur tête, ses cheveux blonds sortaient par toutes les voies possibles et tombaient légèrement sur sa poitrine. La chevelure pâle et brillante, quelque peu vaguée par l'humiditée ardente de l'air, trahissait le costume de La Mort. Mundy passa tout près de l'entrée de la grotte alors qu'elle entendit le cri rapidement étouffé. Elle se tourna vivement, et jeta un regard intrigué et terrifié vers l'intérieur de la grotte. Du sang. Partout sur les murs, sur le sol, et des corps pétrifiés, morts, vivants, elle ne savait pas. Certains gémissaient par terre. Un homme au milieu de tout ce sanguinaire tableau ne bougeait pas, dague en main. Ce qu'elle voyait ne pouvait être réel. Son coeur se mit à débattre puissament dans sa poitrine, puis sans faire attention elle avanca vers l'entrée de la grotte, scrutant les immenses taches de sang qui gisaient de partout. Elle ne savait pas quoi dire, quoi penser. Elle étais tellement troublée qu'elle oublia d'avoir peur. Sans même calculer les risques que ça pouvait impliquer, Mundy adressa la parole à l'homme.

-Tu.. vous.. c'est pas.. tout ça c'est... Elle bégayait terriblement. Les mots se bousculaient dans sa tête et voulaient tous sortir en même temps. Tant de questions et tant d'images, cela faisait un mauvais mélange dans le cerveau de Mundy. Ça ne pouvait pas être un meurtrier aussi sanguinaire? Pas à Erendalith? Mundy dégagea nerveusement ,de l'index, une mèche de cheveux rebelle s'étant plantée dans son champ de vision. Elle inspira longuement et croisa les bras. Elle repris ses émotions et tenta d'oublier ce qu'elle voyait. Elle finit par articuler clairement:

-Tu n'as pas tuer tous ces gens?

-Non,,, ils sont encors en vie, mais inconscient... Je veux faire des tests.... Qui es-tu?

-...Cette Berceuse meurtrière...celle de la mort...
(Svp minimum de 3 lignes par post~)

Mundy se décapuchona tout en avancant plus vers l'homme. Vite, elle se trouva à ses côtés. Elle garda toujours le regard fixé sur les pauvres gens à ses pieds. Elle remarqua rapidement le pentacle aux pieds de l'homme. Ignorant complétement la question, elle regarda toujours la forme sur le sol, et le vant le pied par reflexe, esquivant la poigne d'un des hommes sur le sol. Ont aurait cru qu'il cherchait de l'aide, quelque chose pour lui rappeler qu'il étais encore en vie. Les images de ses parents lui virent en tête. Elle ferma les yeux et les rouvrirent très rapidement. Vite, elle chassa ses mauvaises pensées. Ses pupilles devinrent d'imperceptibles petits points, et la couleur superbe de ses iris ressortit de plus belle. Elle dirigea le regard vers l'homme, puis rebaissa les yeux vers le pentacle. Sans penser et sans réellement ajouter d'intonnation à sa voix, elle demanda:

-Ah oui et quels genre de test?

Elle ne savait pas trop comment réagir, mais pour l'instant aucun danger ne semblait la guêter. Elle finit par se remémorer la question. ''Qui es-tu?''

-Je suis Mundy Mérédyth Howell. Il ne serais pas surprenant que tu n'aies aucune idées de qui je suis, alors les présentation sont inutiles. Elle prononca ces derniers mots en refixant l'homme de son regard pénétrant et de son sourir radieux. C'était une ruse de charme, pour détendre l'atmosphère. Pour l'instant, la seule énergie que dégageait la pièce, c'était le froid, et le sang. L'odeur lui leva le coeur, mais elle se retint de vomir. Elle ravala sa salive et recommence à parler, d'une voix beaucoup plus intéressée:

-Et toi, qui es-tu?

C'est seulement en posant la question qu'elle se rendit compte que quelqu'un avait parler par -dessus elle. Elle se retourna, vu les zombies qui approchait. Sans même crier gare, elle bondit au cou du premier homme qu'elle avait aperçu, c'est à dire le nouveau. Celui qui avait parler par-dessus sa voix sans même qu'elle ne s'en rende compte. Elle lança un regard plus que térrifié à tout ce qui l'entourait. Elle ne devait pas rester ici. C'est alors qu'elle se rendit compte qu'elle étais vraiment accrochée au cou d'un inconnu. Vivement, elle se décrocha, lissa son manteau, et avec tout l'orgueil du monde, elle toussa et dit:

-Pardon. Elle crut bon de ne rien rajouter, laissant le malaise passer. Du moins, pour elle.

Mundy, dans ses pulsions de terreur, rebondit au cou de l'inconnu à l'allure d'ange. Il avais quelque chose de rassurant et en plus, l'autre était armée. Elle murmura avec panique:

-Est-ce qu'on va mourir?

Halletant, elle avais chaud, peur et étais au bord des larmes. L'énergie de la pièce était tellement mauvaise. Mundy était peureuse, certes, mais la grotte y étais pour quelque chose. Ses pensées se troublèrent pour en recontrer de nouvelles. Elle fut pris d'un tourni, et lâchant prise du cou de l'ange, elle tomba à genoux à terre, face vers le sol. Sa main se promena dans le vide, au-dessus d'elle, cherchant désespérément quelque chose qu'elle pourrait aggriper. Elle ne trouva rien, et le tourni s'intensifiait. Elle prononca vaguement des mots, et la voix n'était pas la sienne. Des phrases impossibles à déchifrées tellement elles étaient gargarisées. Bientôt, le souffle normal lui reprit et le tourni la quitta. Elle se releva péniblement, et inspira longuement, en regardant à succession les deux hommes, l'air de demander ce qu'ils allaient faire.

L'occultiste réfléchit...

-De qui êtes vous roi?

Il continua à réfléchire et dit:

-Le sang, comment fonctionne t'il?

(Je répète une dernière fois, c'est beaucoup plus cool quand tu fais interagir ton personnage au lieu de simplement dire se qu'il dit. Nous voulons savoir ses pensés, sa gestuelle, ses expressions faciales. Ne te gêne pas, il n'y a jamais trop d'informations et tu ne fais toujours pas les trois lignes requises.)

L'homme mystérieux à la beautée inégalée s'approchait de son visage, et Mundy étais éperdument tombée sous son charme. Elle entrouvris les yeux doucement, les lèvres devant comme prête à recevoir un baiser. Elle vit alors de longues canines blanches s'approcher de son cou, puis elle ouvrit les yeux soudainement, ronds comme des billes. ''Un vampire...'' Ses pensées défilèrent à un rythme innimaginable, et elle eut alors une idée. Elle referma à demi les yeux, et passa son bras derrière le dos de l'homme. Elle l'attira vers elle, tout en placant son autre main sur sa poitrine. Alors qu'ils étaient à un centimètre près l'un de l'autre, Mundy empoigna fermement l'homme par le collet de ses vêtements, ramena sa main logée dans le dos de l'ange et l'attira encore plus près. Elle ouvrit les yeux, froncant les sourcils, un sourire machiavélique en coin. Elle prononca avec dégoût:

-Tu ferais mieux de sucer du sang ailleurs si tu veux conserver ta tête.

Elle repoussa l'homme qui avait un sourire de satisfaction. Comme un humain qui aimait les femmes 'farouches'. Ça lui faisait un peu peur à dire vrai. Elle essaya de lire ses pensées, en vaint. Pourquoi? Puis, elle se remis à penser à mille à l'heures. Elle dégaina son épée, se retourna dans un mouvement vif et plein de grâce, faisant désormais dos aux deux hommes, et asseina un coup d'épée du haut de la tête d'un zombie, jusqu'à ses hanches. Elle y mis une puissance fénoménale -pour une femme- et vite fait le mort-vivant se retrouva ensanglanté (du moins plus qu'il ne l'étais déjà), tremblant par terre comme s'il faisait de l'hypothermie. Elle l'avais littéralement couper en deux. Mundy créa son dernier souffle de vie en lui tranchant la tête sadiquement. Tôt fait, les autres zombies approchaient. Elle recula jusqu'à l'entrée de la grotte, arme en main, attendant qu'ils donnent la chargent pour pouvoir les découper en sushis comme il se devait. Le soleil commencait à peine à se lever, tantant désespérément de percer les gros nuages de pluie de la veille. Il n'y avais rien à faire. La jeune fille resta plongée dans le noir, ayant un vampire désireux d'elle, un psychopate en manque de sang et des zombies cannibales comme seule compagnie. Elle devait se tirer de là, et vite.

Mundy assista à la défense de l'ange se nommait apparament Samuel. Il l'avais défendue d'une attaque de zombie enragés. Ceux-là, ils commencaient franchement à l'énerver. Puis soudainement, il frappa l'homme en noir, ce qui provoqua un saignement soudain, ainsi qu'un hurlement atroce empli de douleur. Alors que Samuel avait toujours le bras devant, le replacant doucement vers lui, Mundy lui frappa le bras violament. Même s'il étais trop tard, que Samuel avait déjà frappé l'homme inconnu, elle hurla:

-NON!

Mundy jogga vers l'homme blessé, lancant un regard furieux à Samuel. De quel droit il frappait des inconnus? Elle se pencha sur l'homme, apparament elle avais une trop bonne âme. Elle regarda sa blessure, lu idemande si il alalit bien, puis se releva. Elle essuya le sang sur ses mains et fit face à Samuel. Il lui avais tendu la main, lui demandant de venir avec lui. Elle n'eu guerre le temps de penser qu'alors un zombie bondit sur Mundy. Elle l'esquiva de peu, faisant un simple pas sur le côté. Il vint s'écraser sur le sol, se frappant la machoire contre la parroie rocheuse de la grotte, et laissa sortir un faible gémissement, puis se tut. Était-il mort? Peu importais. Elle hésita un moment, puis croisa le regard de Samuel. Il avait de beaux yeux, certes, et expressifs. Mais quelque chose n'allait pas. Elle ne savait pas quoi. Elle reçu les images de ses parents, torturés, puis les chassa vite-fait. Elle bloqua tout accès à ses pensées, pour pouvoir parler normalement, dans le moment présent. Désormais personne ne pourrais l'atteindre, et ce jusqu'à ce qu'elle décide du contraire. Elle baissa les yeux, fixant longuement la main de Samuel. Une main de guerre, avec des cicatrices vieilles comme le monde. Elle leva les yeux, plongeant son regard dans celui de l'ange. Le message qui véhiculait dans le regard de l'homme avait changé. Il s'était adouci, et il était sincère. Du moins, c'est ce qu'il laissait croire. Si c'était le contraire, il était un très bon menteur. Car un regard, on ne peux pas le modifier. Le regard de Mundy cherchait quelque chose. La stabilité, ou quelqu'un à qui elle pourrait enfin faire confiance. Quelqu'un qui lui redonnerait envie de la vie, quelqu'un qui pourrais lui montrer que ça en vaudrait la peine. Samuel était-il ce genre de gens? Elle en doutait fort, mais posa quand même sa main au creux de la sienne. Il serra sa poigne doucement, et ils se fixèrent un long moment, yeux dans les yeux. Puis, elle brisa le silence en disant d'une voix pleine de douceur, mais docile :

-Il faut partir...