To fill the night with horror [PV Mael]

Mael n’était définitivement pas seul, il en avait la certitude, déjà depuis plusieurs jours, il se sentait épiée mais maintenant c’était insoutenable, peu importe l’heure ou la place, ‘’l’autre’’ était là passif à attendre. Mael ne pouvais pas vraiment se déplacé de sa chambre pour une raison évidente. Bien qu’il ait une petite chaise roulante à engrenage qui avait couté une petite fortune à sa famille, il était loin de passé inaperçu. Au début, il avait essayé d’arrêter d’y penser, mais après avoir entendue quelqu’un sur le toit de sa petite étable la nuit passé il était terrorisé, mais quel choix avait ’il? La nuit allais tomber pour en cette quatrième nuit d’angoisse, Mael n’avait que quelque heure de repos et ne voulais décidément pas fermer l’œil.

La chambre de Mael est une ancienne étable qui as été rénové un peux, pour ressembler à une mini maison, malheureusement, elle n’était pas connecté aux reste de l’auberge, bien que les deux bâtiments était mur à mur, chaque matin, quelqu’un vient lui porter son petit déjeuner et l’aidé à s’habiller. La gentille fille des aubergistes, Loraine était charmante (et sent la lavande), probablement dans les 15-16 ans selon Mael. Ils parlaient pendant des heures le matin, et Loraine avait toujours plein de ragot à raconter sur tous les habitués de l’auberge. Comme le vieux Monsieur Orzini qui faisait caca à coter du bol qu’elle devait nettoyer ou encore la grosse boulangère voisine (qui sent le chat mort selon Mael) qui vient chaque soir pour un homme dans la première chambre du deuxième étage et qui font beaucoup de bruit. Ce matin-là, il lui avait parlé de ses inquiétudes, mais n’étant pas réellement anxieuse, Loraine a mis la faute sur la boulangère et a raconté d’horrible truc comme que celle-ci venait épier Mael dans son sommeil pour lui voler ses vêtements et qu’elle voulait le changer avec ses mains baladeuses. Maudite boulangère perverse et puante!

Seul dans sa chambre, assit sur son lit, Mael n’avait aucune idée de l’heure il était exactement, probablement 9h ou 10h vu que Loraine était venu lui donné son souper il y a déjà plusieurs heures. Que pouvait-il bien faire?

Les heures passaient. Maël se plaisait bien dans cette auberge. Il vivait du quotidien, se nourrissant  comme il le pouvait des mains aimables des aubergistes et passait son temps libre à écrire. Comme il lui arrivait souvent d’être seul, il n’était pas rare qu’il ait une pensée pour sa famille. C’était un lourd choix à porter que de les quitter , il ne voulait pas représenter un fardeaux pour eux. Bien que ceux-ci, toujours accueillants et affectueux seraient toujours là pour lui, il ne souhaitais pas leur en demander trop. Leurs bienveillance se traduisaient par les nombreuses lettres qu’il recevait par l’entremise des oiseaux dressés par sa famille : il adorait recevoir de leurs nouvelles.

Il n’avait pas eu le temps de leur faire part de ses tracas actuels. Le jeune homme sentait bel et bien une présence qui l’épiait, et cela le tracassait. Bien qu’il adorait les charades et essayer de deviner le plus de caractéristiques possibles des gens autour de lui, il demeurait effrayé par l’inconnu. Laisser un problème non résolu l’énervait au plus haut point et il voulait comprendre.

Il y avait constamment cette odeur de purin , de paille et de bétail qui volait dans l’air, mais cela ne le dérangeait pas particulièrement. Maël adorait les visites de la gentille aubergiste. Il aimait inventer une apparence physique aux gens, imaginant les cheveux blonds tressés et la robe blanche de la jeune fille. Son parfum de lavande lui plaisait beaucoup, comme toutes les fleurs d’ailleurs.

Il lui arrivait peu souvent de sortir comme ses jambes rendaient le tout compliqué, mais il allait souvent passer ses journées dans la cour, écoutant les gens de maison potiner tout en travaillant. Le jeune homme riait souvent à entendre les histoires et y prenait souvent part en ajoutant quelques anecdotes de son cru : il aimait beaucoup faire la conversation. Maël souhaitait tout de même garder la forme alors il descendait parfois de sa chaise pour faire des étirements et des exercices simples, ne perdant pas espoir qu'un jour peut-être il regagnerait l'usage de ses jambes. Cela ne le rendait toutefois pas malheureux. Il estimait qu'il avait une belle vie et retirait le positif de chaque chose malgré tout. Le soir venu, une bonne dame le raccompagnait à sa chambre et laissait sa chaise près de son lit au cas où il en aurait besoin.

La gentille servante lui apporta le repas, lui fit gentiment la conversation , puis débarrassa le tout. Il la remercia et avant que Loraine ne quitte, il lui demanda de laisser la fenêtre ouverte, lui mentionnant qu’il appréciait le chant des hiboux la nuit tombée. Une fois la jeune fille partie, il décida d’analyser convenablement les lieux.

Le plancher était fait de vieux bois grinçant, ce qui était pratique pour savoir si jamais quelqu’un approchait. Il reconnaissait aussi le bruit des arbres bercés par le vent, ce qui lui signifiait qu’il était non loin d’une forêt. C’était aussi une des raison pourquoi il aimait laisser la fenêtre ouverte. Le fait d’avoir Mira, son faucon de compagnie, le rassurait. Il avait grandit avec elle et sa présence lui rappelait les doux souvenirs de jours heureux passés avec sa famille dans la volière. Elle était ses yeux et ses ailes, désormais.  Il n’était pas rare qu’elle fasse de petits bruits pour l’alerter face a un danger ou une chose à laquelle il devait porter attention.

Pour s’occuper, Maël adorait bricoler. Il confectionnait parfois des bijoux ou des colliers, mais son passe temps du moment était de créer des casse-têtes avec du fil, des élastiques et des morceaux de bois qu’il taillait avec un petit couteau emprunté aux cuisiniers de l’auberge. Ça le détendait et il adorait y jouer avant de s’endormir. Il s’adonna paisiblement à son passe-temps en fredonnant d’un air content tout en essayant de porter attention pour voir si la présence se montrerait de nouveau. Il n’était pas sur d’avoir peur, il trouvait cela plutôt.... Excitant!

1 heure passa et finalement, Mael entendit le planche craquer dans sa chambre, il pouvait sentir l’odeur de sa petite Mira et une odeur amer, une odeur de sang. Mael sentit un sac humide et visqueux atterrir à ses pieds, il se redressa immédiatement prêt à tout éventualité, il essaya tant bien que mal de situé l’inconnue mais rien n’à faire, l’odeur de Mira était partout dans l’endroit mélangé au sang.

Maël resta de marbre face à l’odeur qui lui monta au nez. Il tourna doucement la tête et ouvrit ses yeux de glace qui scrutait dans la direction de la présence.

«Je savais que vous viendriez», Dit-il en souriant.

Il approcha sa main de sa bouche, penseur, comme s’il se prenait pour un détective.

« Intriguant tout de même qu’on s’en prenne a un malheureux volatile, alors que je suis clairement votre cible. Sauf que moi je n’ai pas d’ailes pour m’enfuir , il aurait été donc facile pour vous de m’effacer depuis longtemps. Alors, que voulez vous?»

https://www.youtube.com/watch?v=YnWQNUzcPpU&index=3&list=PLcIampfGJAA2KstygWaCaVrWXDuoteTK-

Mael pouvait entendre quelque chose marché sur son plafond, marché était un grand, quand Mael reçut quelque débris sur la tête il comprit vite que la chose s’accrochait au plafond et n’y marchait pas vraiment. Il sentit une main provenant du dessus lui tapoter la tête, une main chaude, presque réconfortante, ‘’L’homme’’ émis finalement quelques phrases avec une voix male mais douce, avec un petit accent, probablement elfique. Tout en approchant le visage de Mael vers sa bouche, il murmura :

-Ne craint pas, il n’est pas décédé, dans ton cas, je n’suis pas porteur de mort mais, de vérité…

Sa voix étouffée, s’estompa laissant comme un écho dans la tête de Mael, qui n’osa pas parlé sur le coup, voyant que l’homme ne prenait qu’une courte respiration, il parlait lentement. Il sentit la main enlacé son cou lentement, touchant sa petite pomme d’adam. Il sentait la brume de printemps, une odeur rafraichissante et apaisante.

-Nous somme uniques, nous somme du même types, toi et moi…
L’elf reprenait encore son souffle, chaque phrase lui prenait une éternité à dire, maintenant, Mael pouvais sentir le souffle de l’inconnue dans son cou, une main commença à lui tenir la hanche, une autre l’épaule gauche et la troisième, celle qui se baladait dans son visage, descendit chercher la main gauche de mael et la mena a son visage, Mael pouvais toucher et s’imagine la forme du visage son invité.

-Regarde-moi, comme je te regarde, je ne suis point dieu, mais je peux te donner une forme de vision que tu connais… Apelle moi Dicest (il le prononce Digest à cause de son accent) Je suis un Ases et je suis venu te mettre en garde, my brother, Night, toi aussi tu es Ases, faute de chance…

Maël garda une expression neutre. Tout être normal aurait du être effrayé, surtout qu’il ne pouvait voir la scène. Le jeune homme se sentait plutôt intrigué. Il ne comprenait pas ce que cet être étrange était venu faire dans sa chambre, rapportant le cadavre de son faucon dans un sac pour ensuite venir le caresser et lui dire des phrases faisant plus ou moins de sens. Il n’osa le déranger, ne voulant le brusquer, ne sachant que trop à quoi s’attendre.

Ses yeux froids étaient rivés sur lui. Il fut soulagé d’apprendre que Mira n’était pas morte.

« C’est-ce vous qui lui avez fait ça?» Demanda-t-il, curieux.

Il semblait à l’aise.

Il sentit les mains du garçon se balader sur lui. Cela lui faisait un effet étrange, il n’appréciait pas vraiment ce contact mais y fit abstraction.  Les paroles de l’homme l’intrigua alors. Maël fut surpris lorsque sa main vint chercher la sienne pour la passer a son visage. Il savait donc qu’il était non voyant. Il apprécia cette présentation peu conventionnelle, mais tout de même approprié dans son cas.

«Uniques?»

Les bras du jeune homme se raidirent légèrement lorsqu’il sentit les mains de l’inconnu sur ses hanches. Son expression semblait peu convaincu. L’odeur que dégageait ce personnage était toutefois calmante : étrangement sa présence semblait presque rassurante , mais le contexte brisait cette impression mélangée a une ôdeur de sang.

«...Moi, un Ases?»

Il se demanda alors sincèrement ce que l’inconnu lui voulait... Les battements de son coeur s’accentuèrent et une peur légère commença a s’emparer de lui.

«...Di....Gest» , fit-il intrigué.

« Me mettre en garde?» demanda-t-il.

Dicest ignora la question sur le faucon. Mael sentit la peau douce et chaude de l’étranger, il sentit des oreilles pointues, une petite bouche fini, un cou long et élancé, tout indiquait que c’était un elf noir ou un Saickas, il avait les cheveux courts et sentit un chocker dans son cou. Mael, ne put s’empêcher de revenir une deuxième fois sur les cheveux qu’il n’avait effleuré la première, des cheveux extrêmes doux, dégagent une odeur de pomme, étrange. Une autre paire de bras entourant les côtes de Mael, maintenant complétement à la merci de l’elf.

- être un Ases est une malédiction, tu ne pourras survivre, mais je ne tiens pas à être ton bourreau. J’ai glissé ton Arcanes dans tes poches tu ne devrais pas la laissé trainé….(respire) N’importe où…(respire)

La main qui était sur sa hanche se retira lentement après que Dicest prononça l’Arcane, Il ricana tranquillement, presque factice et reprit la discussion :

- La nuit a toujours été mon refuge, c’est peut-être pour ça que j’ai eu…. (respire fort) un soupçons d’amitié car, je suis loin …. (respire) d’avoir de la pitié…hahahaha (4 ha précis presque compter) Je ne cherche pas à devenir un dieu, Mon Arcane est salvation pour ce monde et je ne suis qu’un mortel pour juger du sort des autres. Que pense tu des gens qui te m’éprise intérieurement…(respire) qui ont pitié de ta condition car il croit que tu est incapable (silence)

Un silence de mort pris le pièce d’assault, attendant la réponse de Mael  pour combler le vide.

Presque hypnotisé par sa voix, Maël commença a sentir une sorte d’inconfort. Le contact des deux individus se faisait dans un mélange d’intrigue, de passivité et d’une sorte de constance déroutante. Il ne comprenait pas pourquoi il y avait autant de mains sur lui et cela le perturbait.

Voyant que Digest se refusait de répondre a ses questions, il décida de s’abstenir d’en poser davantage et de répondre aux siennes pour mieux déceler ses intentions.

Comme Maël l’avait prédit, l’individu ne semblait pas avoir d’intentions meurtrières à son égard, ce qui enleva une pression indésirable de sa conscience. Cependant l’idée d’être un Ases résonnait en lui comme un intense poison qui le consumait et dont le décompte du temps à vivre s’amorçait déjà.

Puis vint sa question sur sa perception des autres. Il était perplexe quant à sa réponse et pris un moment avant de dire quoi que ce soit.

« Pour tout vous dire je crois que ce sont eux les vrais aveugles»

Le corps de l’elf n’a pas changé de position, le seul changement est les respirations qui se font plus fréquente et toujours très près de la nuque de Mael.

- Ne t’inquiète pas bientôt, tout peine leurs seras disparu et ils verront…(respiration) la lumière. je souhaite faire disparaitre les Ases, je vois a la palpitation de ton corps, que tout comme moi cette idée d’être élu (respiration) ne te plait pas, mais je ne vais pas te soulager de ton fardeau, tu vas devoir l’endurer et (respiration) ensemble nous pourrons détruire ce tragique destin qui nous lies, je serais le messager de ton message, je serais ta venue dans ce monde, ce don nous avons besoins, nous, être de sang, est loin d’être un dieu, mais plus proche d’une réalité idyllique (respiration)

Les 2 mains qui touchais le visage de Mael non pas la même sensation, elles sont chaude, alors que ceux qui sont ou c’est sont froide et sans vie. Tranquillement, les 2 mains chaudes enlacent le visage de mael, et coupe tranquillement la circulation de l’air. Sa trachée totalement obstrué par la pression l’empêche de parler et son nez, bouché, l’empêche de respiré. Après quelque seconde, tout commence à être flou. Il entend une dernière fois la voix douce de son homme mystère chanter tranquillement une berceuse a son oreille :

https://www.youtube.com/watch?v=TKzMUA1vBgc

- Oh nuit, vient apporter à la terre, le calme enchantement de ton mystère, L’ombre qui t’escorte est si douce, Si doux est le concert de nos chantants l’espérance, Si grand…

Et tranquillement, sa voix faiblie, emporté par la douce suffocation de Mael, qui essaye de rester vivant, mais qui ne peut se battre contre la mort. Doucement, Digest rajoute :

-On va se rencontré à nouveau, à la croiser, tu me joindras et ensemble, nous mettrons fin à ce monde sordide. Je t’y attendrais quand le temps seras venu, de notre union à l’Étoile.

Et la dernière chose qu’entendit Mael cette nuit-là est un coup de fusil retentir à la fois prêt de lui et loin de lui.

Maël se senti compris et soutenu l’espace d’un moment. Aussi sordide que cela pouvait paraître , il se sentait en confiance, à l’abris des jugements. Il ne se sentait pas vu comme un incapable mais bien comme un être vivant dans toute sa complexité, ses imperfections et ses craintes. Le jeune garçon vint pour ajouter quelque chose alors qu’il senti deux mains à sa gorge puis ensuite son souffle coupé. Il lâcha le casse tête dans ses mains et vint pour prendre le couteau du cuisinier, se sentant soudainement menacé, impuissant et presque trahis.

L’homme ajoute qu’ils se reverraient. Tout devenait très vague. L’air lui manquait , il n’entendait plus que des mauvais souvenirs qui resurgirent et se résigna à son impuissance comme il dû le faire, malheureusement, déjà bien trop de fois.

Le calme régnais quand Mael ouvrit finalement les yeux, Il sentit des mains froides sur son torse qui exerçais une intense pression sur son abdomen, secoué il pouvait entendre la voix d’une jeune dame crier des trucs incompréhensible dans son états actuel. Il était mort, mais maintenant il sentait le vent sur son corps. Tout autour de lui il pouvait entendre des cris, des pleurs, Le chaos. Combien de temps c’était-il écoulé depuis? Il ne pouvait le dire. Après quelques minutes, la jeune infirmière l’assit et lui fait prendre une gorgée d’eau, qui lui fit mal tellement il était déshydrater. Le chaos toujours omniprésent, il sentit la présence rassurante de la jeune dame à ses côtés. À ce moment, il sentit l’odeur de pourriture, de suris et de sang tout autour de lui, il ne pouvait même pas humer le parfum de l’infirmière.

-Vous.. Allez bien, monsieur?

Elle semblait ne pas trop savoir quoi dire, son pouls était très fort. Elle essaya de continuer avec certaine difficulté à être cohérente.

-Vous-vous étiez dans une espèce de noir et je suis venu vous cherchez quand j’ai vu un animal blessé rampez vers vous. Et et et..

Elle retenait ses pleurs et Mael compris assez vite après les explications de la soigneuse. Cette journée-là, il avait perdu, beaucoup perdu, mais un ange lui avait tendu la main pour lui montrer la voie dans la nuit. Il avait été épargné…

Le quartier, qui était ci vivant dans les souvenirs de Mael, était maintenant désolation, cadavres par-dessus cadavres, Ils avaient déjà commencé à pourrir de l’intérieur. La pestilence ce faisait sentir à des lieux à la rondes. Les intervenants essayent de trouver tous les survivants possibles, mais malheureusement, un seul à survécut à la tragédie, protégé par un bouclier noir comme la nuit. Certaines maisons en feu pour éviter contamination et des centaines de personnes qui formaient un brasier éclatant de charogne.

C’était l’image qu’il c’était fait, à l’odeur et aux dires de la pauvres infirmières. Celle-ci l’aida a retrouver son fauteuil et le conduisit dans le poste de secours immédiat, ou il resta quelques jours muets. Pensif a ce qui c’était passé. C’est seulement rendu au poste, qu’il se rendit compte que ça poche contenait des trucs. Une feuille rigide en forme de carte, probablement son Arcane, une petite lettre et une plaque de pierre grosse comme sa paume, qu’il cacha aussitôt, curieux de savoir ce qu’il contenait.

Sur toutes les lèvres, partout dans le royaume humain, le seul sujet était le mystérieux Digeste, qui signait ses crimes de son nom sur l’église du quartier. L’Ases qui possédait la carte de la maladie, l’Ases qui avait déjà tué des milliers d’innocent, et mis à sang 5 quartiers dans 3 villes différentes, toujours de l’empire humaine.  

Mael était là, c’était la seule chose qu’il arrivait a pensé à ce moment, il était là, existant…